Admis.e.s à l’ECAM Rennes, vous vous posez certainement beaucoup de questions : Comment se passent les 5 années d’études ? Comment réussir ma prépa ? Quel avenir avec une formation d’Ingénieur Généraliste en 5 ans ? Aéronautique ? BTP ? Environnement ? Informatique et Télécommunications, puis-je réellement tout faire ?
La cohésion, c’est l’esprit de promo qui s’est créé pendant ces 2 ans de prépa, et que l’on a gardé même après. Le fait que nous pouvions aussi bien nous aider les uns les autres que passer du bon temps ensemble. Je pense qu’une partie de mes meilleurs moments à l’ECAM Rennes étaient dus au « craquage » avec la prépa.
Mon conseil pour une prépa réussie ? Se mettre dans le rythme sans attendre et ne pas se reposer sur ses acquis ! Un bon démarrage est pour moi la clé ! Au-delà de l’aspect scolaire de la prépa, c’est aussi une opportunité de faire des rencontres qui marquent notre vie et qui permettent de traverser cette épreuve. On y forge de vraies amitiés !
Pour réussir sa prépa, je dirais qu’il faut travailler efficacement. Dans mon cas, je faisais toujours des fiches, j’apprenais une partie en écrivant, et sinon je refaisais les exercices vus en classe. Je recommande également l’entraide entre camarades de promo. Parfois en aidant un ami, on peut soi-même comprendre certaines notions. Et il faut évidemment savoir s’accorder des temps de repos pour sortir, aller boire une bière à la Vème Option, ou découvrir le centre de Rennes…
Personnellement j’ai toujours eu des facilités au primaire, collège, lycée.. Facilités qui m’ont permis de toujours passer en faisant le strict minimum.. Chose qui, comme on peut s’en douter, n’a pas fonctionné arrivé en classe préparatoire. N’ayant pas réellement travaillé en 1ère année j’ai redoublé la seconde pour trop de lacunes. Deux choses à retenir de cette expérience, premièrement redoubler n’est jamais à prendre comme un échec mais plutôt comme une deuxième chance afin de faire mieux. Personnellement, ce redoublement aura été bénéfique d’un point de vue scolaire mais aussi du point de vue personnel, cela m’aura fait grandir.
Deuxièmement, en travaillant régulièrement, en préparant correctement ses colles (ou khôlles) les devoirs surveillés se passeront bien. Il faut se trouver ses méthodes de travail, seul de son côté ou à plusieurs dans la B.U, je ne pense pas qu’il existe de formules magiques, chacun doit trouver ce qu’il lui correspond. L’expérience de la classe préparatoire est vraiment particulière, je me suis fais des amis que je garderai pour la vie, c’était parfois compliqué mais dans l’ensemble c’est une étape qui se passe bien et on en garde tous un bon souvenir.
Enfin il faut profiter de l’expérience de ceux qui sont déjà passés par là. En effet cette école permet de très rapidement connaître les différents étudiants et donc de pouvoir profiter de ce grand réseau qui sait se rendre disponible pour aider son prochain.
Pour réussir les deux années en classe préparatoire à l’ECAM Rennes, il faut savoir être studieux et ouvert sur les autres. N’ayant pas de concours final, il faut trouver le juste milieu entre travailler assidûment dans le but d’accumuler les connaissances requises, et savoir demander de l’aide ou poser des questions aux professeurs, à ses camarades, mais aussi aux élèves déjà en cursus ingénieur. Car la force de ces classes intégrées, c’est qu’elles sont au sein même de l’école, nous donnant dès le premier jour une vision de notre futur. Si cet équilibre est trouvé, ces deux années seront intenses et inoubliables !
La marche est grande entre la terminale et la première année de prépa. Les exigences y sont importantes et les notions plus complexes que ce que vous avez pu étudier au cours de vos années lycée.
Pour autant, bien que les programmes soient identiques, la prépa de l’ECAM Rennes n’est pas une CPGE qui elle a vocation à préparer les élèves aux concours grandes écoles. Vous n’êtes pas en concurrence avec vos camarades de classe. De ce fait, comptez les uns sur les autres !
Le maître mot d’une prépa intégrée réussie à l’ECAM Rennes est la solidarité. Bien sûr, l’organisation et la régularité ne seront pas de trop.Il y aura des moments plus intenses que d’autres, attendez vous à quelques déconvenues, mais sachez que vous en sortirez grandis et que vous tisserez de belles amitiés au cours de ces 2 années de prépa ! J’en garde un très bon souvenir encore aujourd’hui. Pour finir, dites vous que les 3 années qui suivront en vaudront la chandelle !
Trouver le juste équilibre entre travailler et se ressourcer. Ces deux années de Prépa Intégrée regorgent de bons moments mais également de périodes intenses. La solidarité du groupe permet de surmonter plus facilement ces obstacles et ne cesse de s’accroître au fil des mois .. et perdure encore !
Avant d’arriver à l’ECAM Rennes : le système scolaire français nous amène à choisir notre école uniquement sur sa notoriété et c’est une erreur à mon sens, elle vaut, c’est sûr, mais rien ne vaut la convivialité, l’état d’esprit et l’ambiance que j’ai pu vivre à l’ECAM Rennes une fois en prépa : ça serait de penser à profiter de sa vie étudiante mais en ne négligeant pas l’importance de savoir se mettre au travail, quand les résultats ne sont pas ou plus au rendez-vous il faut savoir faire preuve de maturité !
Pour une prépa réussie, plusieurs choses : ne pas se faire d’idées, la prépa, c’est dur mais pas insurmontable si l’on a une rigueur et une constance dans son travail (j’insisterai sur la constance). Travailler en groupe, poser des questions, s’interroger, prendre du temps pour soi aussi est aussi super important pour décompresser. Enfin, faire la part des choses entre vie sociale/étudiante et scolarité.
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